Plus De 50 Pour Cent Des Bulgares Soutiennent Une Taxe Sur Les Aliments Nocifs

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Plus De 50 Pour Cent Des Bulgares Soutiennent Une Taxe Sur Les Aliments Nocifs
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Anonim

Jusqu'à 53 pour cent des Bulgares soutiennent l'introduction de taxe sur les aliments nocifs, proposé par le ministre de la Santé Petar Moskov. Cependant, 45 pour cent de nos employés admettent qu'ils ne vérifient pas le contenu des aliments qu'ils achètent.

C'est ce que montrent les données d'Alpha Research, qui a mené une enquête auprès de 1 100 Bulgares, rapporte Dnevnik.

Les résultats de l'étude montrent que les habitants de notre pays ne connaissent pas le contenu spécifique des aliments et des boissons qu'ils consomment.

Le sondage rapporte que 53% des Bulgares lisent les étiquettes des aliments, mais 25% d'entre eux n'ont commencé à prêter attention à cette information qu'au cours du dernier mois après le large débat sur les aliments nocifs.

45 % de nos compatriotes, en revanche, déclarent n'avoir jamais lu les informations alimentaires sur l'étiquette.

Chaque seconde, un Bulgare raconte qu'il mange des produits à haute teneur en sucre et en sel. 43% des personnes interrogées n'ont aucune idée des produits riches en caféine, taurine et graisses végétales hydrogénées.

Beignets
Beignets

Seuls 10 % des répondants s'estiment informés sur les ingrédients contenus dans nos aliments. 26% n'ont pas entendu parler des ingrédients nocifs, et 49% ne connaissent que certains d'entre eux.

Le soutien à la taxe sur les aliments nocifs est tout aussi fort tant parmi les personnes ayant un statut matériel élevé que parmi celles à faibles revenus, qui sont définies comme les plus victimes d'aliments nocifs dans notre pays.

L'avis des Bulgares est que si les produits à risque pour la santé deviennent plus chers, cela n'aura qu'un effet positif sur notre menu. Les plus grandes inquiétudes concernent les enfants qui mangent régulièrement des aliments riches en sel et en sucre.

La mesure proposée par Peter Moskov sera un moyen sûr de limiter les ingrédients nocifs dans l'alimentation des enfants qui sont à la pointe de l'obésité en Europe.

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